Humour : quand Google nous régale
Derrière l’énorme machine à sous que représente Google, se cache une boite IT qui cultive un goût prononcé pour la boutade, et qui n’hésite pas à faire preuve d’un peu d’auto-dérision.
Révélation pour certains, secret de polichinelle pour d’autres, voici une sélection de quelques fun facts.
Le nom, tout d’abord de Google, est un jeu de mots sur googol, qui fait référence en mathématiques au chiffre 1 suivi de cent zéros. La vision qu’a Google de sa place de leader et de celle de ses concurrents ?
Les langages cachés
Avec plus de 36 langues disponibles, Google a même pensé à créer une interface en Klingon, le langage de la race éponyme dans Star Trek.
Le piglatin, en anglais langage codé qu’utilisent les enfants entre eux.
Le Snake YouTube
Chargez n’importe quelle vidéo sur YouTube, et faites pause. Gardez appuyée la flèche de gauche jusqu’à ce que le curseur revienne à zéro puis sans lâcher, appuyer sur haut : un Snake apparait ! Le Nokia 33-10 n’a qu’à bien se tenir (quoique…). Et, sachant que le géant Finlandais n’a pas choisi Android sur ses smartphones, on peut y voir un joli pied de nez à son égard, étant donné qu’il a préféré les faveurs d’Android aux charmes de Microsoft. Reste à savoir si la création de ce Snake est effectivement ultérieure ou pas à cet événement.
Chuck Norris Facts :
Sous IE ou Mozilla, tapez « trouver Chuck Norris » puis cliquez sur « J’ai de la chance », le résultat est pour le moins surprenant.
Tiens dans le code source de la page google.fr on peut voir window=lol()lol
Moquer son grand rival est décidément une obsession chez Google ! Mais pas seulement, Facebook en prend également pour son grade. Ainsi, traduire »We hate this company » en Japonais donnait encore il y a peu, entouré de kanjis, le nom de la compagnie de Palo Alto.
Google Maps :
Choisissez un itinéraire absurde sur Google Maps, du type Tokyo – Seattle, la réponse risque fort de vous amuser.
La calculette
Le nombre de cornes que possède une licorne
Les produits fake
Autodérision ou mégalomanie ?
Note d’Eric : il y a certainement de nombreux autres exemples. Google n’oublie pas également d’acheter les noms de domaines dérivés afin d’éviter le cybersquatting, ou le typosquatting. Exemple : http://www.gogole.com.
la source: presse citron